L'Anxiété - Le Cancer de l'âme

L'Anxiété - Le Cancer de l'âme - Nouvelle Édition

Plus de 10 000 exemplaires vendus!

Les cancers le l'âme sont des désordres anxieux qui s'attaquent au plaisir de vivre et peuvent générer la souffrance morale, la sensation d'être mal dans sa peau, l'insatisfaction, la dépendance affective, la frustration, le perfectionnisme, la peur de vivre, le découragement ainsi que plusieurs autres malaises psychologiques.

Avec la psychologie chirurgicale, Louise Reid réussit à expliquer les cancers de l'âme, permet d'en identifier la source et offre les moyens d'intervenir directement afin d'éradiquer les racines mêmes de l'anxiété et de redonner aux personnes atteintes le pouvoir sur leur propre vie.

Elle nous parle également des abcès et des infarctus de l'âme qui peuvent entraîner, en autres, le ressentiment, le doute, la méfiance, la jalousie, l'agressivité, la panique, la dépression ou l'épuisement professionnel.

Soutenu par une écriture simple et accessible, ce livre offre des pistes de compréhension logiques ainsi que des outils d'autoguérison faciles à utiliser et adaptables aux différents désordres anxieux.

Louise Reid



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Avant-propos

Depuis une vingtaine d’années, j’ai orienté mes recherches et ma pratique vers un seul objectif : trouver des solutions rapides, efficaces et durables à différents problèmes psychiques qui, chacun à leur manière, contribuent à créer le mal-être, l’anxiété, l’angoisse et les états dépressifs. Dans cette optique, j’ai dû mettre de côté nombre de théories apprises par les lectures et les cours universitaires pour ne garder que celles qui me paraissaient en lien direct avec ces problématiques. De plus, parce que j’avais personnellement expérimenté des thérapies longues et éprouvantes, j’ai toujours conservé la certitude qu’il fallait tenir compte en priorité de la souffrance morale ressentie par les personnes affectées et s’assurer que les interventions ne contribuent jamais à augmenter leur douleur. J’ai donc recherché les solutions le moins douloureuses possibles et qui donneraient des résultats à très court terme. J’ai rapidement découvert que le seul moyen d’y parvenir était d’identifier les sources premières des désordres psychiques et de développer des formes d’intervention permettant de les atteindre directement.

Au fil des années, j’ai réalisé que les techniques que j’avais mises au point s’apparentaient, de façon surprenante, à la chirurgie telle qu’elle est pratiquée en médecine. La chirurgie médicale procède selon les étapes suivantes : identifier la source du problème, créer une ouverture, extraire l’élément perturbateur ou réparer un dommage et ensuite refermer. Lorsque je comparais les procédés que je pratiquais avec ceux utilisés par la psychologie traditionnelle, les miens m’apparaissaient comme un traitement de type chirurgical. Dans ce cas, il s’agissait d’identifier le problème psychologique et ses racines, d’effectuer une percée dans l’inconscient pour amener la source du désordre au niveau de la conscience, d’éradiquer les peurs et les croyances irréalistes, de solidifier la structure émotive et de refermer l’accès direct à l’inconscient.

C’est ainsi qu’est née la psychologie chirurgicale, un nouveau modèle d’intervention spécialisée qui permet d’identifier les sources profondes des problèmes anxieux et d’intervenir directement afin de détruire les racines qui les alimentent. Cette forme de psychologie apporte un soulagement rapide et durable aux sensations de découragement, de perte d’espoir et de déséquilibre psychique, toutes formes de destruction qui, selon ce que j’ai découvert, s’apparentent singulièrement aux cancers physiques, tant dans leur forme que dans leur développement.

La psychologie chirurgicale permet également de soigner efficacement les blessures de l’enfance en éliminant directement les peurs, les peines et les colères accumulées. Par son travail très ciblé, elle procure la capacité de se défaire rapidement des blocages émotifs causés par les peurs de vivre, de souffrir et de mourir qui entravent la circulation de la joie et du bonheur et qui incitent les personnes au décrochage et au retrait. La psychologie chirurgicale redonne à la personne atteinte de divers troubles psychologiques l’occasion de recommencer à mieux fonctionner en un court laps de temps, et ce, sur une base durable. En plus de permettre l’obtention de résultats rapides et persistants, elle possède un autre atout de taille : en utilisant des pistes directes et facilement accessibles, elle aide une personne anxieuse à se soigner sans nécessairement recourir à des thérapies souvent longues et coûteuses.

Le terme chirurgie référait jusqu’à maintenant à la seule discipline médicale et, selon les définitions reconnues, elle consistait en des interventions manuelles et instrumentales pratiquées directement sur le corps dans le but de réparer des traumatismes, de traiter des infections, de lutter contre les conséquences de certaines affections ou de corriger les malformations. Nous pouvons dorénavant appliquer la notion de chirurgie à une nouvelle approche psychologique pour soigner rapidement les dommages causés par les traumatismes, traiter les pensées contaminées, lutter contre les conséquences engendrées par de fausses croyances et corriger des comportements inappropriés.

Cette découverte de la psychologie chirurgicale ne m’est pas venue d’une inspiration subite et ne découle pas directement des études que j’ai effectuées en psychologie. Elle est d’abord le résultat de mon expérimentation personnelle de la grande souffrance morale reliée aux désordres anxieux et des pistes que j’ai développées pour y mettre fin.

En effet, pendant des dizaines d’années, j’ai souffert d’un grave dérèglement psychologique qui m’a causé une grande souffrance morale et qui m’a finalement conduite à une dépression profonde. Durant les quarante premières années de ma vie, j’ai eu à composer avec un faible goût de vivre, complètement insuffisant, qui a déterminé un déséquilibre et une instabilité de ma structure émotive. Une telle insuffisance se traduisait par des manques au niveau de la motivation, de la conviction personnelle, de la volonté, du courage, de l’estime de soi, du plaisir de vivre et de la capacité d’apprécier le moment présent. En fait, la peur de vivre bloquait la circulation de la joie, qui ne parvenait que très rarement à m’atteindre. J’ai donc vécu ces quarante années sous le signe de la tristesse et du désabusement, même si, de l’extérieur, je semblais avoir une vie active et relativement normale. Cette insuffisance de goût de vivre et l’absence de repères qui y était associée ont provoqué le découragement et m’ont entraînée dans des épisodes dépressifs récurrents, dont un qui s’est avéré majeur en 1990. J’ai alors vécu une très grave dépression accompagnée d’une tentative de suicide qui a échoué in extremis. Je suis donc demeurée en vie, mais, cinq mois plus tard, un infarctus du myocarde me laissait cinq pour cent de chances de survie. À trente-neuf ans, donc, au cours de cette même année 1990, j’ai subi un infarctus physique majeur, ainsi qu’une dépression profonde que j’ai surnommée mon infarctus psychologique.

Tant du point de vue psychologique que physique, je puis dire que j’avais le cœur brisé. L’infarctus du myocarde m’avait laissé certains dommages physiques importants et les médecins m’avaient avisée que je survivrais si mon cœur réussissait à se créer de lui-même un nouveau réseau de circulation du sang pour remplacer celui qui avait été partiellement détruit. Je n’avais pas de pouvoir direct sur ma guérison physique, mais je pouvais avoir de l’influence sur le rétablissement de mon cœur psychologique.

Au cours des deux années suivantes, j’ai d’abord fait le choix de vivre, même si la vie était parfois douloureuse et difficile. J’ai aussi effectué un nettoyage en profondeur des émotions négatives accumulées qui bloquaient en moi la circulation de la joie. J’ai renoué contact avec mes propres forces intérieures et j’ai effectué de nouveaux choix de vie, posé de nouvelles balises qui excluaient le plus possible le stress et l’anxiété. J’ai lentement retrouvé l’espoir et le goût de vivre. Mon cœur psychologique s’est créé un nouveau réseau de circulation de la joie et du plaisir. Pour sa part, mon cœur physique s’est certainement lui aussi restauré, puisque j’ai survécu à l’infarctus du myocarde. Aujourd’hui, je suis confrontée à certaines restrictions relativement mineures, mais je vis pleinement, tant physiquement que psychologiquement. Quant à savoir si le travail que j’ai effectué sur ma structure psychique a eu un impact direct sur la régénération de mon cœur physique, je n’en aurai jamais la certitude absolue, mais, depuis dix-huit ans, je n’ai subi ni nouvel infarctus, ni problème cardiaque associé, ni dépression.

Ces deux atteintes à ma vie et le mal-être qui les sous-tendait représentent une période très difficile de ma vie, mais ils se sont avérés pour moi la pierre angulaire d’une toute nouvelle compréhension des problèmes psychiques et de leurs sources directes. D’une certaine manière, je suis reconnaissante à la vie de ce qui m’est arrivé. Ces expériences m’ont appris que le cœur physique et le cœur psychique possèdent de nombreuses analogies métaphoriques qui peuvent permettre une meilleure compréhension de certains désordres psychologiques.

Bien sûr, je n’ai pas pu profiter des techniques de guérison présentées dans ce livre, puisqu’elles n’avaient pas encore été découvertes. J’ai utilisé divers procédés, souvent longs et douloureux, pour tâcher de m’extraire du trou noir de la dépression, de l’angoisse et de l’anxiété généralisée, et j’y suis parvenue. Cependant, chacun des efforts fournis m’a permis de mieux comprendre les rouages qui entraînent ce type de déchéance psychologique. C’est à partir de cette compréhension profonde que j’ai pu découvrir des analogies entre les troubles anxieux et les maladies physiques que sont les cancers, les abcès et les infarctus du myocarde. Je me suis alors évertuée à mettre au point des techniques visant à identifier et éliminer les éléments sources qui déclenchent ces perturbations psychologiques. Cette compréhension et ces mises au point m’ont permis de développer des techniques pour traiter le plus efficacement possible les désordres anxieux dont souffrent tant d’autres personnes.

Lorsqu’il s’agit des questions reliées à leur santé, le corps et l’esprit humain possèdent plusieurs espaces communs que je vous invite maintenant à découvrir et à explorer.

Copyright © 2010 Éditions JCL
Tous droits réservés.

Édition originale:

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Commentaire de Louise

Je tiens à souligner l'extraordinaire collaboration de Martine Ménard et Annie-Claudine Tremblay qui m'ont permis de donner une structure articulée et compréhensible au contenu de ce livre.

Un gros merci également à Stéphane Aubut des Éditions JCL qui m'a soutenue tout au long de la longue correction afin que le contenu devienne le plus accessible possible.

Et enfin, merci à Jean-Claude Larouche, président des Éditions JCL, d'avoir cru en mon travail et en l'approche que j'ai developpée.

Louise

Commentaire de Sylvie P.

Bonjour , Je viens de vous écouter avec Paul Arcand, je fais des démarches pour ma fille de 11 ans qui fait du mutisme sélectif , elle ne parle pas a l'école , on dit que c'est dû à l'anxiété , les services à l'école ou à l'hôpital sont nul , mais tout le monde veulent qu'elle parle!j'essaie de trouver de l'information sur internet mais je crois que votre livre pourrait m'aider.... Est-ce que vous connaissez le mutisme sélectif?
Merci!
Sylvie P.

Bonjour Sylvie,

En effet, le mutisme sélectif repose sur une forte anxiété.
Votre fille est sans doute capable de parler lorsqu'elle se trouve dans un environnement dans lequel elle se sent en sécurité mais devient muette à l'école ou l'insécurité affective et sociale la "paralysent" et lui créent une forme de panique.

La première partie du livre "L'anxiété, le cancer de l'âme" pourrait certainement vous aider à comprendre les sources de son anxiété et vous donner certaines pistes de solution.  Cependant, vous profiteriez sûrement également de la lecture d'un autre de mes livres dont le titre est "Guérir l'anxiété de nos enfants" et qui contient plusieurs interventions à effectuer auprès des enfants anxieux.

Bonne chance!

Commentaire de Miche;

Bonjour, j'ai entendu l'entrevue avec Paul Arcand ce matin...Vous avez énuméré les 3 faux raisonnements (programmations)..Quels sont-ils ?

Merci à l'avance...

Bonjour Miche;

Les trois fausses croyances-équations innées dont il était question sont:

1-  La solitude égale le vide  (engendre la dépendance affective, l'impression de n'être pas capable de vivre sans la présence constante d'autrui).

2- La vie égale plaisir (entraîne frustration et colère face aux refus, aux difficultés et aux désagréments.)

3- La vie égale omnipotence :  "Je suis capable de tout faire et tout réussir"  (pousse au perfectionnisme, à la recherche absolue et constante de performance, au jugement négatif sur soi...)

Il y a également de nombreuses fausses croyances-équations  qui s'acquièrent ultérieurement et que l'on retrouve dans le livre sous le titre des fausses-croyances-équations acquises.

Commentaire de Lynda

Bonjour,
J'ai fait une très grosse dépression en 2007. Je croyais être seule à dire que j'était tombée dans un trou noir. Encore aujourd'hui j'ai du mal à m'en sortir.

Bonjour Lynda,
Tous les gens qui sont en dépression, en épuisement professionnel ou en stress post-traumatique sont tombés dans un trou noir virtuel (sensation de profond vide intérieur) et ne parviennent plus à en sortir.  La troisième partie du nouveau livre  traite de ces problématiques. J'y parle du vide intérieur, de l'insuffisance du désir de vivre et je compare ces problématiques graves à des infarctus psychologiques qui nous empêchent d'être alimentés en joie.  J'espère que vous aurez l'occasion de le lire et de faire les exercices qui y sont suggérées pour la réparation de la structure émotive.

Commentaire de Lina M.

Je viens de voir votre émission à Denis Levesque !
Merci! Je vais acheter votre livre ça c'est certain...Lina

Commentaire de Eveline A.

Je viens de vous écouter lors de l'émission "Denis Lévesque". Je vous ai trouvé super intéressante. J'ai eu un diagnostic de carcinome cervical en octobre 2009, j'ai subi 32 traitements de radiothérapie et à ce moment là je me suis mise au neutre. Après tous ces traitements, j'ai fait un "rewind" de ce diagnostic et depuis je suis dans une période de grande tristesse et j'ai beaucoup de difficultés à me stimuler. Est-ce que livre pourrait m'aider?
Merci à l'avance

Eveline,

Oui, je pense que le livre pourra vous aider. 


D'abord,  la deuxième partie du livre pourra vous permettre de vous défaire de cette peine qui vous submerge.
Dans le cadre de cette lutte que vous avez dû mener contre le cancer, votre structure émotive a subi de durs coups et elle s'est affaiblie, vous privant en partie du désir d'avancer. Les explications ainsi que l'exercice de route présentée en troisième partie du livre vous aideront à réparer les dommages causés et à retrouver pleinement le désir d'avancer.

Bonne chance et bravo pour le courage démontré dans la lutte que vous avez menée.


Commentaire de Monique R.

Merci pour ce livre.
J'ai une belle fille qui souffre de la vésicule biliaire et du foie et je crois que c'est dû a l'anxiété.
Je vais lui offrir votre livre.
 Merci

Commentaire de Marjolaine

Bonjour
Je souffre d'agoraphobie (peur d'avoir peur)et j'ai suivi plusieurs thérapies et là je me retrouve encore au même point en ayant plus peur de ces symptômes qui me paralysent de frayeur.
Sincèrement merci.

Marjolaine,

L'agoraphobie est directement liée au trouble panique, qui lui découle d'une sensation de vide intérieur.  Dans "L'anxiété, le cancer de l'âme", je parle de ce trouble dans la troisième partie du livre.  Pour diminuer et éliminer la panique, il vous fait faire l'exercice de la route tel que décrit.

Un autre de mes livres est aussi dédié en bonne partie au trouble panique.  Il vient tout juste d'être réimprimé et vous pouvez le trouver en librairie présentement :  "Réparer sa route de vie".

Bonne chance!

Commentaire de Francine P.

Je suis un peu sceptique car je prends des antidépresseurs et si je les oublie, c'est certain que durant la journée je m'en appercois, je ne me sens pas bien.
Donc comment ne plus prendre ces pilules qui sont chimiques et probablement une béquille dont je ne suis pas capable de me passer?

Bonjour Francine,

Il est certain que vous ne devez jamais cesser ce type de médication sans l'avis de votre médecin et encore, la diminution, si besoin, doit se faire de manière progressive.

Aussi est-il important de continuer votre médication.

Je vous suggère de travailler avec le principe de la route, tel que décrit dans la troisième partie du nouveau livre ou dans
mon livre "Réparer sa route de vie".

Lorsque vous vous sentirez mieux et que vous aurez l'impression de retrouver enfin du pouvoir sur votre vie, vous pourrez discuter avec votre médecin d'un éventuel arrêt de médication.

Commentaire de Monique

Bonjour Louise,

Je me suis reconnue dans votre histoire personnelle ainsi que dans vos deux dernières croyances-équations. Mon vécu ressemble drôlement au vôtre; je croyais entendre mon histoire de vie. J'ai cru comprendre que vous êtes psychothérapeute, alors quels sont vos coordonnées pour prendre rendez-vous ?

Merci à l'avance,

Monique

Vous pouvez trouver toute l'information sous l'onglet Thérapies dans le menu du site.
Cela fait du bien, souvent, de se reconnaître dans un témoignage et de réaliser que nous ne sommes pas seuls à vivre une situation donnée.  C'est la raison pour laquelle je n'hésite pas à parler de mon vécu lorsqu'on me le demande.

Commentaire de Deborah

Bonjour je vous ai entendu à l'émission de Paul Arcand. Ma fille est borderline et j aimerais savoir si votre technique peut aider les personnes aux prises avec ce problème. Merci!

Bonjour Deborah,

La personne borderline (personnalité limite) souffre de très forte anxiété et il lui manque des repères solides pour s'assurer un sentiment de sécurité.  Elle est confrontée à un grand sentiment de vide intérieur et a donc une  tendance à la panique.  Les crises de colère, la haine et la mésestime de soi, l'auto-destruction et autres comportements inadéquats sont le résultat de cette panique.

La première technique à utiliser avec les personnes souffrant de personnalité limite est celle de l'imagerie d'une route telle que décrite dans la troisième partie du livre, ceci afin de les aider à retrouver une solidité émotive et un certain sentiment de sécurité.

Elles possèdent le plus souvent les deux premières fausses-croyances innées décrites dans la première partie du livre (relatives à la solitude et au plaisir),  programmations négatives qui incitent à la dépendance et à la frustration. Donc, un travail à faire sur ces croyances.

Le problème de personnalité limite est difficile à cerner et définir mais si déjà, l'anxiété diminue fortement, votre fille
 et vous-même ressentirez un  soulagement. 




Commentaire de Doris B.

J'ai écouté votre partage avec Denis Lévesque et j'ai trouvé super. Je me procure vos bouquins. Merci

Commentaire de Monique

Bonjour,
J'ai  écouté votre entrevue avec Denis Lévesque, le 2 sept.
J'ai subi-un choc post-traumatique en novembre 2009 suite à une chute que je ne suis pas capable de m'expliquer. Mon médecin veut me traiter avec une médication que j'hésite à prendre. Depuis avril 2010 j'ai fait quelques crises de panique. Cela n'est pas dans mes habitudes car j'ai foncé dans la vie en ayant un handicap que j'ai apprivoisé tranquillement. Je suis atteinte de paralysie cérébrale que je peux considérer comme légère. Depuis avril quand je me retrouve à l'extérieur ou sur le trottoir pour traverser la rue, mes jambes se figent et le coeur me débat en débandade. Est-ce que je dois consulter un psychologue ou simplement lire votre livre.

Merci de me répondre.

Bonjour Monique,

Parce que le stress post-traumatique implique une  peur de mourir, il provoque une sensation de trou noir, de perte de repères, comme si on s'était perdu de vue soi-même.  Depuis avril, dès que vous devez traverser une rue, votre cerveau panique (si je fais une chute en traversant, je risque d'être heurtée et de mourir).  Votre cerveau cherche à vous protéger.  Le seul moyen efficace de modifier cette programmation est d'effectuer l'exercice de visualisation route/vie
dans la troisième partie du livre ou dans un autre de mes livres dont le titre est "Réparer sa route de vie".

Mëme si vous essayez de convaincre votre cerveau qu'il n'y a pas de danger de mort, la programmation est la plus forte.  L'exercice route/vie sert à déprogrammer cette sensation de danger et donc, à éliminer la panique.

Commentaire de chantale

Je viens de vous voir à la télé avec Denis Lévesque! J''aimerais savoir si votre livre peut aider mon copain qui a l'agoraphobie??


Bonjour Chantale,

L'agoraphobie découle du trouble panique, et c'est l'une des problématiques anxieuses traitées dans le livre.

Bonne chance à votre copain.

Commentaire de Diane

Bonjour, Je viens d'écouter votre émission à Denis Lévesque. C'est vraiment merveilleux. J'ai perdu un enfant il y a quelques années et j'ai eu la chance d'avoir un aide qui m'a fait faire des techniques de visualisation semblables aux techniques que vous faites. Ça m'a sauvé la vie. Aujourd'hui, j'ai un garcon qui vit de l'anxiété le soir... en position horizontale plus rien ne va. J'ai fait plusieurs techniques de visualisation mais ça ne suffit pas. Quel livre me conseillez- vous? Merci à l'avance.

Bonjour Diane,

Si votre garçon a moins de15 ans, je vous conseille "Guérir l'anxiété de nos enfants".

S'il est plus âgé, "L'anxiété le cancer de l'âme"

Commentaire de M.D.

J'ai pris connaissance ce soir, par l'intermédiaire d'un ami, de l'émission avec Denis Levesque.Je sors avec peine et misère d'une dépression.Cet ami a commandé votre livre pour m'aider a voir clair sur ce que je vis et par le fait même d'en sortir. Après une thérapie de 8 mois auprès d'une psychologue,je me suis reconnu tout de suite et je vais prendre votre modèle comme inspiration.Je vous félicite car vous m'avez donné un grand plus, juste a écouter l'émission .Encore bravo, d'autres vont suivre vos pas vers un mieux vivre.

Commentaire de annie

Bonjour Louise,
 Je suis en train de lire votre livre, j'ai suivi les techniques que vous recomendez.  Pour l'instant j'ai de petits résultats mais je continue à lire, mes petites phrases sur les croyances-équations innées. Je souhaite d'arrêter mon anxiété qui me colle aux épaules et qui me fait faire du bruxisme (grincer des dents) la nuit.  Je continue à lire.  Je suis vraiment intéressée par votre livre,
Merci pour les bon trucs.

Annie

Bonjour Annie,

Continuez et  les résultats s'amélioreront constamment.

Bravo!

Louise Reid

Commentaire de Diane

Madame Reid,
Je lis passionnément depuis 1 an des lectures pour m'aider à vaincre mes ruminations anxieuses. Je suis à ce jour toujours à la recherche du moyen qui sera le bon pour moi. Est-ce que votre dernier ouvrage serait le bon outil pour moi ou si un autre de vos livres serait plus approprié?

Bonjour Diane,
L'anxiété, le cancer de l'âme est le plus complet de mes livres et il inclut les techniques présentées dans les livres précédents.  C'est donc celui que je vous suggère.

Bonne lecture et bon travail.

Louise Reid

Commentaire de Danielle

Madame Reid,
Je suis bipolaire, angoissée et pleine d'anxiété depuis plus de 30 ans, c'est terrible d'avoir vécu comme ça toutes ces années (travail, mère etc..) je veux vraiment me débarrasser de cet anxiété qui brise ma vie. Votre livre peut-il m'aider? Je prends des médicaments pour ma bipolirité, et des ativans (souvent) pour tout simplement passer une journée sans cet anxiété qui me tue. J'ai beaucoup de bébittes qui me rongent depuis mon enfance. Difficultés à les identifier et mettre de l'ordre dans ma vie. Merci.

Commentaire de Linda

Bonjour à vous,
J'ai rêvé autour de mes 25 ans (aujourd'hui 46 ans) que je serai morte à 40 ans. J'ai été dans une grand peur tout au long de L'année de mes 40 ans et depuis j'ai le sentiment que c'est la fin de la quarantaine qui amènera ma mort. J'ai donc toutes sortes de douleurs abdominales pour lesquelles je ne consulte pas de peur d'avoir un diagnostic de cancer ect Avez-vous un livre qui traite de se défaire de ces types de croyances. En passant, j'ai assisté à une conférence avec sujet sur la spiritualité et les croyances et j'ai raconté ma peur et le fait que je crois que je vas mourir. Réponse: C'est certain que si vous y croyez cela va arriver. Merci de votre aide.

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